Thursday, November 23, 2006

Les moutons: the revenge


Tiens, les voilà les moutons!

Le bon vieux chat de plafond


C'est trop mourant. :)

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Je voulais seulement partager ce moment comique avec vous! Revenez bientôt pour plus d'informations sur les miettes mangeuses d'assiettes.

Monday, November 20, 2006

Mal structuré.

Assez de la Mégastructure, j'en ai plein le cul des commentaires sans fondement de Bastien. Alors vous lirez mes textes ici à présent.

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J'ai pas réussi à obtenir un Wii, j'attends le prochain arrivage de stocks avec impatience.

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Moi fatigué ces tesamssp.... ces temps-ci... Zzz... update blog... rrare.

;)

Saturday, November 18, 2006

Peu de réactions...

Ça jase pas fort sur la Mégastructure, alors je tente ma chance ici, sur un texte que j'ai écris hier et que j'adore:

Peine

Douleur


Pain is sadness.


Je me vois dans le char, dans la vitre du char. Je gribouille la vitre, avec un couteau, peut-être une clé. Je gribouille et ensuite je me vois, dans la vitre du char. Mon reflet est cicatrisé. Des cicatrices dans mon visage, dans mon reflet. Ces cicatrices, ce sont des larmes. Ces cicatrices, je les sens dans mon âme.


Et mon âme aussi pleure, pleure sûrement de tristesse. D'une tristesse triste, qui amène les larmes aux yeux, qui fait que je pleure. Mes larmes sont invisibles, on ne peut que les voir dans la vitre du char. Et je me retourne, vers le trottoir et les appartements. Et je ne vois pas mon visage. Je ne sais pas que je suis triste, mais mon âme pleure toujours. Il pleure des larmes de joie.


Bonheur

Amour


Love is happiness.


Je ne me vois plus pleurer, je suis heureux. Mais je pleure toujours, toujours dans mon âme. Je pleure de solitude, ou peut-être de bonheur. Heureux d'être seul. Seul sans mon reflet malheureux. Malheureux d'être seul, seul sans son reflet. Son reflet dans mes yeux, ou peut-être derrière. Derrière mes yeux, dans ma tête. Derrière ma tête, peut-être est-elle là. Oui c'est elle, et je la regarde. Et je vois mon reflet. Mon reflet heureux, dans ses yeux dans sa tête, dans ma tête.


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Demain c'est la sortie du Nintendo Wii, je vais faire mon geek et aller au magasin à l'ouverture, en espérant qu'il n'y ait pas une file d'attente de personnes plus geek que moi.

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Une petite pensée pour finir:

Comment appelle-t-on le genou d'un gnou?


Thursday, November 16, 2006

Les moutons

Comment introduire les moutons sur le mur de ma chambre? Honnêtement, je ne le sais pas trop. Je pourrais vous fournir une photo qui expliquerait tout, mais c'est trop complexe: il faut la prendre, "plugger" le 'tit fil USB dans l'ordinateur, partir le programme qui sort les photos de l'appareil, héberger la photo puis créer un lien. J'utiliserai donc mes talents d'écrivain pour parler de cette chose qui me hante depuis mon arrivée à Montréal.

Voyez-vous, pour une raison quelconque, j'ai la petite chambre dans mon appartement, et dans cette chambre, il ya des moutons qui sont peints sur le mur. Pourquoi des moutons? Et bien c'est que ma chambre était jadis une chambre d'enfant (ce qui est aussi perceptible grâce à la couleur de ma chambre: bleu poudre et jaune). La seconde question que vous alliez me poser, je l'ai déjà prévu: pourquoi ces moutons me terrorisent-ils, dites vous? Il n'y a pas qu'une seule réponse à cette question, la plus évidente semble être celle de l'anatomie mutante des moutons: ils n'ont pas de bouche, et il n'y en a qu'un seul qui a une frisette. Je pourrais aussi parler de la couleur peu propable de ces moutons, qui sont évidemment le bleu poudre et le jaune. Je peux aussi mentionner qu'un seul d'eux à une frisette sur la tête, ou encore que leurs yeux sont noirs et vides comme la braise de l'Enfer.

La véritable réponse se trouve derrière les moutons, et je ne parle pas ici des voisins derrière le mur où les moutons sont peints, je parle du derrière symbolique: l'enfant qui habitait cette chambre. Qui était-il? Comment a-t-il vécu? Et la question la plus terrible, est-il toujours vivant, ou hante-t-il cette chambre à jamais? Le fait est que j'entend des bruits la nuit, des bruits de pas. Pour me rassurer, vous me dites que c'est mon coloc qui va se faire deux sandwichs au thon dans la cuisine. Ou encore vous me dites que c'est le chat, qui, à défaut de n'avoir rien à faire, marche. Mais je ne crois pas aux colocs, et encore moins aux chats. Je ne crois qu'aux fantômes.

Et c'est pourquoi ces moutons, seuls témoins de la vie d'un bébé qui est peut-être aujourd'hui défunt, me font glacer le sang et qu'ils m'ennivrent de terreur chaque soir avant de me coucher.

Wednesday, November 15, 2006

L'écrivain se cherche.

Vous savez, j'ai dis que j'écrivais une pièce pour ma soeur. Et bien jusqu'à date les résultats ne sont pas nettes, et je dirais même qu'ils sont sales. Où est mon humour subtil? Où sont mes tournures de phrases absurdes? Où se cache ma légendaire vivacité d'esprit? Et où se terrent mes séries de questions pour introduire un sujet?

Écrire, c'est quelque chose de difficile, écrire bien, ce l'est encore plus. Heureusement, grâce à la volonté divine, la patience maternelle et les sandwichs au jambon, j'ai su développer un talent qui se veut exceptionnel quant au médium qu'est l'écriture, quoiqu'en disent mes ennemis (notamment les 6 moutons peinturés sur mon mur de chambre, qui me regardent sans cesse, affamés de mes aptitudes et de mon âme, d'ailleurs, je compte bien vous parlez de mes moutons demain!).

Néanmoins, en moi se trouve une aptitude, ou une inaptitude, aussi terrible et grandiose que l'écriture: l'impatience. Je déteste rester assis longtemps pour ne faire que cela, et je suis aisément distrait par mon environnement. Bref, deux forces opposées se combattent sans cesse dans mon inconscient, et seule l'une d'entre elles peut vaincre.

Est-ce à dire que je n'aime pas écrire? Peut-être. Mais j'adore me lire, alors je ne peux pas m'en tirer. Il ne me reste alors qu'une seule solution, lorsque je suis condamné à être assis, dans un de mes cours de l'UQÀM, j'écris pour vous ma poésie, mes idées, bref mon imaginaire, et je tente à nouveau d'écrire pour ma soeur, cette pièce que j'aimerais bien un jour concrétiser.

Thursday, November 09, 2006

Ma plume au service de Raph!

Que fabrique-t-il ce Didze, à ne pas updater son blog, vous disiez-vous à l'instant même où j'étais (c'est-à-dire ou je suis) en train de le mettre à jour (1 anglicisme par texte, c'est correct. Enough is enough)? Que fabrique-je, je me la pose souvent cette question.

Eh bien voilà, hier, j'ai été voir ma soeur faire de l'impro (c'est elle Raph), et en revenant j'ai eu une idée géniale pour l'écriture d'une pièce de théâtre. Je suis donc désormais affairé à ce projet, que j'ai commencé ce matin même à rédiger dans mon cours de littérature et anecdotes (ceux qui le suivent à mes côtés, comprendront qu'il s'agit en fait du cours de littérature et société).

N'en dirais-je plus que je me mettrais le pied au cul. Il ne faut pas vendre l'idée de l'homme avant de l'avoir abattu, évidemment. Un titre peut-être? J'opterai probablement pour "87 ans d'une vie". Pourquoi 87? Simple, c'est l'année de naissance de ma soeur, et comme la pièce est pour elle (car j'espère qu'une fois rendue vedette, elle la jouera), alors le chiffre (ou est-ce un numéro?) 87 me paraissait tout à fait naturel.

À voir bientôt, dans un théâtre près de chez vous (sauf si vous habitez à Rouyn-Noranda, y'a rien de près de chez vous là-bas).

Tuesday, November 07, 2006

Yeah, j'ai updaté mon profile!

Le temps est aujourd'hui venu de vous avouer mes intérêts et mes préférences, et je me mets donc à nu devant vous lecteurs, grâce à mon merveilleux profil d'utilisateur de blogspot! Suis-je normal? Suis-je hip? Suis-je hop? Suis-je cool avec les jeunes? Suis-je méchant avec les vieux? Suis-je paranoïaque? Nymphomane? Calorifère? Caroussel? Beige?

Toutes ces questions trouvent enfin une réponse, et peut-être même plus qu'une! J'ai dis toutes, mais c'est loin d'être vrai, vous devrez donc vérifier vous-mêmes, pour mieux me connaître, et peut-être par le fait même mieux VOUS connaître!

Suis-je assez con pour faire une entrée de 3 paragraphes sur un sujet aussi peu intéressant (d'ailleurs allez voir mon entrée précédente, elle est beaucoup mieux!)?

Non, dis-je avec frictio... affirmativi... juxtapo... clairvoyeuris.... dictionnair... CONVICTION! Je suis assez con pour en faire quatre.

Moi, selon moi.

Il n'écrivait que de la poésie.

Il l'écrivait avec frénésie.

Le reste lui semblait impossible:

C'était trop long dans sa vie paisible.


Il cherchait l'alexandrin parfait, unique,

Qu'Hugo même avait dû longuement cherché.

Et revenait aussitôt au vers libre, cynique,

Car les règles étaient compliquées.


Le roman l'avait beaucoup tenté,

Les histoires folles dans sa tête se voyaient défilées,

Mais jamais il n'arrivait à écrire plus qu'une phrase,

Qu'elle lui passait, cette phase.


Pris de désespoir, il décida enfin,

D'écrire une histoire, par cette seule fin,

Ce poème qu'il connaissait si bien,

Préférable, d'ailleurs, au roman arlequin.


Les images étaient belles,

Les mots s'alliaient, naturels,

Mais pourquoi avoir choisi cette histoire

Qui parlait de son misérable sort?

Monday, November 06, 2006

Une fin de semaine productive!

Eh oui, ça été toute une fin de semaine. Mon coloc est parti vendredi, bref déjà une personne de moins pour faire quelque chose. Pas grave, me dis-je, j'ai une soeur! Semble-t-il que les aspirations professionnelles et loisirielles (!) de ma soeur avait pris de l'avance sur mes plans, alors je fus abandonné par mon propre sang.

Bah, il me reste quand même une couple d'amis à Montréal, n'est-ce pas? Ben non! Évelyne m'a abandonné pour un shower de bébé, et Kevin m'a abandonné pour sa terre natale!

Bof, c'est pas grave, reste le chat. Encore une fois, me voyais-je déçu. Il dort le jour et il court la nuit comme un con (quand j'essaie de dormir).

Finalement, y'a un vidéo pas trop loin de chez nous, il me reste alors l'échappatoire des films. Eurêka!

Fin de semaine très chargée donc, 6 films en trois jours (2 le premier jour, 3 le second et 1 aujourd'hui). Quels étaient-ils ces films? En ordre, j'ai vu 3-iron, un film romantique coréen (je crois), pas mauvais, mais pas bon non plus. Ensuite, j'ai vu un des meilleurs films d'animation japonaise de toute ma vie, intitulé "The place we promised in our early days". Superbe, j'ai probablement même versé quelques larmes ça et là. Je passe le 3e film que j'ai vu, un autre film d'animation japonaise mais très décevant celui-là. Je ne le nommerai même pas. Ensuite j'ai écouté "Je n'ai pas peur", un film italien ou espagnol, je suis pas trop sûr (mais ça se passe en Italie, c'est toujours ça de certain). C'était très intéressant et bien fait. Puis, "In the mood for love", un autre film romantique (faut dire que j'étais dans le mood for love moi aussi on dirait...) d'origine chinoise (pas sûr non plus), du superbe réalisateur Wong Kar Wai. C'était très bien réalisé, mais l'histoire n'avait pas de but. J'ai mieux aimé 2048 du même réalisateur (et c'est avec les mêmes acteurs principaux, que j'adore). Finalement, aujourd'hui je me suis tapé le classique "Taxi Driver" de Martin Scorcese. C'était vraiment bon, Robert de Niro est un génie, et la tension montait de façon très naturelle. Je comprends pourquoi ça a passé le test du temps.

Bref, une fin de semaine productive (ou non), qui finit par une entrée sur mon propre blogue, question de la rendre encore plus productive. Ou simplement, question de tenir compte de son existence, qui aurait pu passé à néant très facilement.

Je continue de mettre des poèmes sur la megastructure, mais je ne sais pas si je vais encore le faire longtemps, il n'y a pas beaucoup de lecteurs (et de participants, quoique ça s'améliore de ce côté) et les commentaires, à défaut d'être productifs, sont loins d'être constructifs.

Friday, November 03, 2006

Une mégastructure!

Salut à tous,

Il est 5h du matin et je suis crevé, mais je n'arrive pas à dormir, alors autant faire quelque chose d'(in)utile. Dernièrement, Basduck a ouvert la MEGASTRUCTURE 51, un blog pour les étudiants en lettres de l'UQÀM. Je l'ai ajouté à mes liens, à la droite, et j'y ai déjà mis deux textes de mon crû. Vous pouvez aussi voir quelques autres blogs des étudiants de lettres de l'UQÀM, et quoiqu'inférieurs au mien, ils demeurent néanmoins intéressants.

Je dois noter aussi que je vais mettre la plupart de mes textes de création dans la mégastructure, mais vous aurez quand même droit à des exclusivités ici, bref à des brouillons, des textes inédits, des idées, etc. Évidemment, le plus important, c'est qu'ici, j'ai le droit de déconner, et j'adore le faire, donc continuer de me lire, mais lisez-moi partout :D.

Wednesday, November 01, 2006

Soulignons le premier novembre de 2006!

Et oui, nous sommes enfin au moins de novembre. Plus qu'un mois avant d'être au premier mois de décembre en 2006. Pourquoi, me demandez-vous, le premier mois de novembre (et de décembre) de 2006. Peut-il vraiment y en avoir 2?

La réponse à cette question est affirmative, je l'affirme. Après avoir longuement discuté avec des physiciens compétents de l'ONF (puisque tout le monde sait que l'ONF produit tout sauf des films), j'en ai conclu, suite à leur conclusion, que la chose était possible. En effet, comme vous savez tous, nous originons de Dieu, et ce dernier a un jour fait exploser du néant pour créer du plein. Ce phénomène, les gens de l'ONF le désignent sous le nom de "Big Bang" ("El Nino" étant déjà pris). Bref, l'univers a pris de l'expansion, et est peut-être même encore en expansion (je m'informerai auprès du capitaine Jean-Luc Picard à cet effet).

Que vient faire la création de l'univers avec le mois de novembre? Tout, justement: les scientifiques de l'ONF prédisent qu'un jour, un phénomène renversé ce produira, le "big crunch" (faute d'"el nina"). Il me semble donc logique que si tout "s'effouère" et revient à zéro, le temps en fera de même. Bref, vers l'an 2 millions 782 131, tout reviendra en arrière. Nous passerons évidemment par l'an 2280, où je serai sorti de terre (oui, je vais vivre aussi vieux, grâce aux produits "L'Oréal" qui me font paraître jeune plus longtemps), suite à quoi nous reverrons l'an 2070 durant lequel j'aurai gradué de L'UQÀM (le recteur m'enlevera mon diplôme des mains d'ailleurs) et finalement, nous reviendrons à ce jour fatidique du 1er novembre 2006, qui sera le second novembre de l'année 2006, et pendant lequel j'effacerai toutes les conneries que je viens aujourd'hui d'écrire.

Parlant de retour, je devrais retourner à ma lecture de Lucien Goldmann, car j'ai un résumé critique qui est dû pour demain. Bah et puis merde... j'ai encore 64 ans pour passer mes cours.