Saturday, December 23, 2006

La vie sans les kit-kat.

Il m'arrive parfois de penser a un monde apocalyptique, un monde dans lequel les choses les plus simples ne seraient plus. Un monde dans lequel la kit-kat ne serait plus.

Je marche simplement dans la rue, kit-kat a la main, et je chéris ce moment de tout mon coeur.

J'ai écouté Terminator 3 dernièrement, et John Connor soulève le même problème. Il dit (et je paraphrase), en parlant du jour du jugement: It's gonna be a world where even the simple things won't exist. Et c'est par la suite que l'humanité se battra pour sa survie, contre des robots (apparemment).

Mais nous battrions nous vraiment? Sommes-nous a ce point matérialiste que la survie ne voudrait plus rien dire sans les choses les plus simples. Voudrions-nous vraiment vivre, sans les kit-kat?

J'essaie de ne pas y penser, et je savoure... c'est bon une kit-kat.

5 comments:

Anonymous said...

La vraie question que soulève le film Terminator 3, je pense, c'est à savoir si la fin du monde devait arriver et qu'on devait se battre pour ce qui vaut la peine d'être vécu... Voudrions-nous vraiment nous battre pour sauver le film Terminator 3?

kit-kat = good
terminator 3 = shit

ca y est, désolé, je l'ai dit... :\

Didier C. said...

Je suis plus ou moins en accord. Terminator 3 est divertissant et quand même pas trop mal côté histoire.

Le vrai problème de Terminator 3 réside dans le fait que, pour faire du cash, Hollywood a décidé de complètement détruire la philosophie des 2 premiers films: No fate but what we make.

Anonymous said...

Moi je dis que Terminator 3 c'est con et que ça a pas d'histoire pour la simple et bonne raison qu'ils ont enlevé la philosophie des premiers (ne jouez pas à Dieu, ne vous frottez pas aux robots en métal liquide, etc.)


(dis donc Jérôme, tu sais que t'es drôle?)


c'est la philosophie qui génère les histoires, chère, et non pas le contraire; c'est ce que ne semblent pas savoir plusieurs jeunes écrivains, surtout les poètes.

Anonymous said...

Terminator 2 reste le meilleur des Terminators. Terminator 3 (de ce que je me rappelle) ne valait pas grand chose... (c'est encore plus vrai, si on le compare avec ses des deux prédécesseurs). Je me souviens d'avoir été diverti en l'écoutant, mais sans plus. Hollywood devrait apprendre à couper dans les sequels...ça finit tellement par tuer la "magie"...m'enfin.


Basduck: Toujours à attaquer les poètes? ... N'empêche, c'est vrai que c'est la philo qui génère les histoires et non l'inverse.

Anonymous said...

Je me batterais bien pour une poutine Ashton moi par contre!!!