Friday, December 29, 2006

A 2 c'est bien mieux!

(note de l'auteur: pas d'accent grave sur les A... putin de MAC)

Je prône l'individualisme, mais en-dedans de moi je suis la coopération même. Je dirais même que je suis la coopération. Si la modestie n'existait pas avant moi, la coopération, l'entraide et le partage non plus. Je suis tellement pour la coopération que parfois, quand je salis ma vaisselle, j'incite mon colocataire a m'aider a la faire.

Mais pourquoi parle-je de ma générosité? Car j'ai découvert une nouvelle trame dans les jeux vidéos, grâce a mon nouveau Xbox 360: le coopératif! C'est génial de se battre contre des ennemis virtuels a 2, ça enlève presque le caractère pathétique de jouer seul devant une télévision 6 heures en ligne. Ou du moins, on se sent moins coupable!

Bref, les jeux vidéos ne m'ont pas appris que l'anglais. Ils m'ont réenseigner pourquoi le partage et la coopération sont a la base de mon langage et de mes habitudes... tout comme la modestie, la beauté physique et le pudding chômeur.

Reste a trouver quelqu'un pour ne pas faire certaines choses tout seul! (Je parle de Badminton, bande de pervers)

Saturday, December 23, 2006

Nouveau look!

Vous aimez?

Sans importance, c'est comme ça maintenant :).

La vie sans les kit-kat.

Il m'arrive parfois de penser a un monde apocalyptique, un monde dans lequel les choses les plus simples ne seraient plus. Un monde dans lequel la kit-kat ne serait plus.

Je marche simplement dans la rue, kit-kat a la main, et je chéris ce moment de tout mon coeur.

J'ai écouté Terminator 3 dernièrement, et John Connor soulève le même problème. Il dit (et je paraphrase), en parlant du jour du jugement: It's gonna be a world where even the simple things won't exist. Et c'est par la suite que l'humanité se battra pour sa survie, contre des robots (apparemment).

Mais nous battrions nous vraiment? Sommes-nous a ce point matérialiste que la survie ne voudrait plus rien dire sans les choses les plus simples. Voudrions-nous vraiment vivre, sans les kit-kat?

J'essaie de ne pas y penser, et je savoure... c'est bon une kit-kat.

Monday, December 18, 2006

Pourquoi être individualiste?

Je me réveille parfois et je réalise que nous vivons dans une société individualiste, capitaliste et tous ces istes là. Ces istes si critiqués des gens, qui préférerait le socialisme, le communisme, et tous ces ismes là. À force de me réveiller et de fréquenter ma société, je réalise pourquoi un tel changement serait loin d'être favorable: les gens ne savent pas vivre en communauté. S'ils veulent qu'on commence à tuer l'individualisme, qu'il commence donc par faire preuve de civisme.

C'est une histoire simple. L'histoire d'un gentil jeune homme qui travaille au salaire minimum dans un supermarché. De temps en temps, il sort par un temps glacial pour aller récolter les paniers d'épicerie. Dans le milieu du stationnement, il y a un grand "rack" à panier, où tous peuvent agréablement et facilement gambader pour mener le panier dont ils n'ont plus besoin. Alors pourquoi les gens qui laissent leur panier dans le stationnement, avec la roue barrée, pour l'employé à salaire minimum qui doit rester 10 minutes de plus après la fermeture pour ces salopards.

C'est une histoire simple. L'histoire d'une jeune demoiselle. Elle aime l'environnement, elle a ses propres sacs d'épicerie, pour éviter que les employés à salaire minimum n'emballent dans des sacs en plastique. Une fois que ceux-ci ont fini d'emballer, elle leur dit enfin qu'elle a des sacs, et critique le fait qu'ils ne leur ont pas demandé. À quoi ça donne de sauver l'environnement, quand on ne sait pas vivre dedans?

Je reste individualiste, je reste capitaliste, car c'est dans ce système seul que je peux vivre et emmerder les autres; autant qu'eux semblent ne pas vouloir s'améliorer. Arrêtez de me faire pleurer avec vos utopies. Les humains sont mésadaptés en société.

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Je finis ma session universitaire dans quelques heures.

Sunday, December 03, 2006

Pas mort...

... mais pas fort.

Désolé je n'ai pas beaucoup de temps. Venez quand même me visiter, je ne laisse pas tomber le blog et j'espère pouvoir recommuniquer avec vous tous très bientôt. D'ailleurs, voici quelques infos brèves:

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Qu'est-ce que je fais présentement?

J'écris enfin l'histoire qui me trotte dans la tête depuis 6 ou 7 ans, je crois avoir trouvé ce qui motive mon personnage principal.

Je relis "Le dernier jour d'un condamné" de Victor Hugo, et j'espère en tirer suffisamment de contenu pour faire un travail en littérature et société sur le lien entre l'oeuvre et la position de Hugo sur la peine capitale. Je crois que la chose est possible, avec de l'auto-intertextualité dans l'oeuvre et tout.

Je cherche un sujet pour mon travail en littérature et langage, qui est dû pour le 18 décembre (je crois!). Je lisais le roman de Hugo pour faire quelque chose en lien avec la trame narrative, mais je crois que le livre est plus adapté au travail que j'ai mentionné précédemment. Je ne crois pas avoir bien performé à l'examen, alors les travaux vont me sauver le cul (contrairement à ce que la professeure disait: "L'examen c'est pour remonter vos notes".).

Je cherche quoi mettre sur mon blogue, Bastien n'aime pas que je raconte ma vie, mais c'est ce qu'il fait lui-même quand on y porte attention. Surtout que le blog, c'est sa vie ;).

Je sors, je bois et je fume des cigares Colts. J'ai un emploi, alors je me paye la traite.

Je travaille. C'est parfois long, mais c'est toujours payant. Et puis les pourboires payent mes barres de chocolat, que je déguste durant les pauses.

J'admire le ciel. Orion est toujours aussi belle en hiver. Je l'adore. La lune s'est fait débordée par des nuages emplis de neige, et ça aussi c'était beau à voir.

Je cherche une demoiselle. J'en ai trouvé, mais me trouveront-elles aussi?

Je finis mon entrée pour aujourd'hui.

J'espère pouvoir écrire sur l'état de ma chambre et les miettes de toast (mangeuses d'assiettes) bientôt.

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Thursday, November 23, 2006

Les moutons: the revenge


Tiens, les voilà les moutons!

Le bon vieux chat de plafond


C'est trop mourant. :)

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Je voulais seulement partager ce moment comique avec vous! Revenez bientôt pour plus d'informations sur les miettes mangeuses d'assiettes.

Monday, November 20, 2006

Mal structuré.

Assez de la Mégastructure, j'en ai plein le cul des commentaires sans fondement de Bastien. Alors vous lirez mes textes ici à présent.

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J'ai pas réussi à obtenir un Wii, j'attends le prochain arrivage de stocks avec impatience.

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Moi fatigué ces tesamssp.... ces temps-ci... Zzz... update blog... rrare.

;)

Saturday, November 18, 2006

Peu de réactions...

Ça jase pas fort sur la Mégastructure, alors je tente ma chance ici, sur un texte que j'ai écris hier et que j'adore:

Peine

Douleur


Pain is sadness.


Je me vois dans le char, dans la vitre du char. Je gribouille la vitre, avec un couteau, peut-être une clé. Je gribouille et ensuite je me vois, dans la vitre du char. Mon reflet est cicatrisé. Des cicatrices dans mon visage, dans mon reflet. Ces cicatrices, ce sont des larmes. Ces cicatrices, je les sens dans mon âme.


Et mon âme aussi pleure, pleure sûrement de tristesse. D'une tristesse triste, qui amène les larmes aux yeux, qui fait que je pleure. Mes larmes sont invisibles, on ne peut que les voir dans la vitre du char. Et je me retourne, vers le trottoir et les appartements. Et je ne vois pas mon visage. Je ne sais pas que je suis triste, mais mon âme pleure toujours. Il pleure des larmes de joie.


Bonheur

Amour


Love is happiness.


Je ne me vois plus pleurer, je suis heureux. Mais je pleure toujours, toujours dans mon âme. Je pleure de solitude, ou peut-être de bonheur. Heureux d'être seul. Seul sans mon reflet malheureux. Malheureux d'être seul, seul sans son reflet. Son reflet dans mes yeux, ou peut-être derrière. Derrière mes yeux, dans ma tête. Derrière ma tête, peut-être est-elle là. Oui c'est elle, et je la regarde. Et je vois mon reflet. Mon reflet heureux, dans ses yeux dans sa tête, dans ma tête.


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Demain c'est la sortie du Nintendo Wii, je vais faire mon geek et aller au magasin à l'ouverture, en espérant qu'il n'y ait pas une file d'attente de personnes plus geek que moi.

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Une petite pensée pour finir:

Comment appelle-t-on le genou d'un gnou?


Thursday, November 16, 2006

Les moutons

Comment introduire les moutons sur le mur de ma chambre? Honnêtement, je ne le sais pas trop. Je pourrais vous fournir une photo qui expliquerait tout, mais c'est trop complexe: il faut la prendre, "plugger" le 'tit fil USB dans l'ordinateur, partir le programme qui sort les photos de l'appareil, héberger la photo puis créer un lien. J'utiliserai donc mes talents d'écrivain pour parler de cette chose qui me hante depuis mon arrivée à Montréal.

Voyez-vous, pour une raison quelconque, j'ai la petite chambre dans mon appartement, et dans cette chambre, il ya des moutons qui sont peints sur le mur. Pourquoi des moutons? Et bien c'est que ma chambre était jadis une chambre d'enfant (ce qui est aussi perceptible grâce à la couleur de ma chambre: bleu poudre et jaune). La seconde question que vous alliez me poser, je l'ai déjà prévu: pourquoi ces moutons me terrorisent-ils, dites vous? Il n'y a pas qu'une seule réponse à cette question, la plus évidente semble être celle de l'anatomie mutante des moutons: ils n'ont pas de bouche, et il n'y en a qu'un seul qui a une frisette. Je pourrais aussi parler de la couleur peu propable de ces moutons, qui sont évidemment le bleu poudre et le jaune. Je peux aussi mentionner qu'un seul d'eux à une frisette sur la tête, ou encore que leurs yeux sont noirs et vides comme la braise de l'Enfer.

La véritable réponse se trouve derrière les moutons, et je ne parle pas ici des voisins derrière le mur où les moutons sont peints, je parle du derrière symbolique: l'enfant qui habitait cette chambre. Qui était-il? Comment a-t-il vécu? Et la question la plus terrible, est-il toujours vivant, ou hante-t-il cette chambre à jamais? Le fait est que j'entend des bruits la nuit, des bruits de pas. Pour me rassurer, vous me dites que c'est mon coloc qui va se faire deux sandwichs au thon dans la cuisine. Ou encore vous me dites que c'est le chat, qui, à défaut de n'avoir rien à faire, marche. Mais je ne crois pas aux colocs, et encore moins aux chats. Je ne crois qu'aux fantômes.

Et c'est pourquoi ces moutons, seuls témoins de la vie d'un bébé qui est peut-être aujourd'hui défunt, me font glacer le sang et qu'ils m'ennivrent de terreur chaque soir avant de me coucher.

Wednesday, November 15, 2006

L'écrivain se cherche.

Vous savez, j'ai dis que j'écrivais une pièce pour ma soeur. Et bien jusqu'à date les résultats ne sont pas nettes, et je dirais même qu'ils sont sales. Où est mon humour subtil? Où sont mes tournures de phrases absurdes? Où se cache ma légendaire vivacité d'esprit? Et où se terrent mes séries de questions pour introduire un sujet?

Écrire, c'est quelque chose de difficile, écrire bien, ce l'est encore plus. Heureusement, grâce à la volonté divine, la patience maternelle et les sandwichs au jambon, j'ai su développer un talent qui se veut exceptionnel quant au médium qu'est l'écriture, quoiqu'en disent mes ennemis (notamment les 6 moutons peinturés sur mon mur de chambre, qui me regardent sans cesse, affamés de mes aptitudes et de mon âme, d'ailleurs, je compte bien vous parlez de mes moutons demain!).

Néanmoins, en moi se trouve une aptitude, ou une inaptitude, aussi terrible et grandiose que l'écriture: l'impatience. Je déteste rester assis longtemps pour ne faire que cela, et je suis aisément distrait par mon environnement. Bref, deux forces opposées se combattent sans cesse dans mon inconscient, et seule l'une d'entre elles peut vaincre.

Est-ce à dire que je n'aime pas écrire? Peut-être. Mais j'adore me lire, alors je ne peux pas m'en tirer. Il ne me reste alors qu'une seule solution, lorsque je suis condamné à être assis, dans un de mes cours de l'UQÀM, j'écris pour vous ma poésie, mes idées, bref mon imaginaire, et je tente à nouveau d'écrire pour ma soeur, cette pièce que j'aimerais bien un jour concrétiser.

Thursday, November 09, 2006

Ma plume au service de Raph!

Que fabrique-t-il ce Didze, à ne pas updater son blog, vous disiez-vous à l'instant même où j'étais (c'est-à-dire ou je suis) en train de le mettre à jour (1 anglicisme par texte, c'est correct. Enough is enough)? Que fabrique-je, je me la pose souvent cette question.

Eh bien voilà, hier, j'ai été voir ma soeur faire de l'impro (c'est elle Raph), et en revenant j'ai eu une idée géniale pour l'écriture d'une pièce de théâtre. Je suis donc désormais affairé à ce projet, que j'ai commencé ce matin même à rédiger dans mon cours de littérature et anecdotes (ceux qui le suivent à mes côtés, comprendront qu'il s'agit en fait du cours de littérature et société).

N'en dirais-je plus que je me mettrais le pied au cul. Il ne faut pas vendre l'idée de l'homme avant de l'avoir abattu, évidemment. Un titre peut-être? J'opterai probablement pour "87 ans d'une vie". Pourquoi 87? Simple, c'est l'année de naissance de ma soeur, et comme la pièce est pour elle (car j'espère qu'une fois rendue vedette, elle la jouera), alors le chiffre (ou est-ce un numéro?) 87 me paraissait tout à fait naturel.

À voir bientôt, dans un théâtre près de chez vous (sauf si vous habitez à Rouyn-Noranda, y'a rien de près de chez vous là-bas).

Tuesday, November 07, 2006

Yeah, j'ai updaté mon profile!

Le temps est aujourd'hui venu de vous avouer mes intérêts et mes préférences, et je me mets donc à nu devant vous lecteurs, grâce à mon merveilleux profil d'utilisateur de blogspot! Suis-je normal? Suis-je hip? Suis-je hop? Suis-je cool avec les jeunes? Suis-je méchant avec les vieux? Suis-je paranoïaque? Nymphomane? Calorifère? Caroussel? Beige?

Toutes ces questions trouvent enfin une réponse, et peut-être même plus qu'une! J'ai dis toutes, mais c'est loin d'être vrai, vous devrez donc vérifier vous-mêmes, pour mieux me connaître, et peut-être par le fait même mieux VOUS connaître!

Suis-je assez con pour faire une entrée de 3 paragraphes sur un sujet aussi peu intéressant (d'ailleurs allez voir mon entrée précédente, elle est beaucoup mieux!)?

Non, dis-je avec frictio... affirmativi... juxtapo... clairvoyeuris.... dictionnair... CONVICTION! Je suis assez con pour en faire quatre.

Moi, selon moi.

Il n'écrivait que de la poésie.

Il l'écrivait avec frénésie.

Le reste lui semblait impossible:

C'était trop long dans sa vie paisible.


Il cherchait l'alexandrin parfait, unique,

Qu'Hugo même avait dû longuement cherché.

Et revenait aussitôt au vers libre, cynique,

Car les règles étaient compliquées.


Le roman l'avait beaucoup tenté,

Les histoires folles dans sa tête se voyaient défilées,

Mais jamais il n'arrivait à écrire plus qu'une phrase,

Qu'elle lui passait, cette phase.


Pris de désespoir, il décida enfin,

D'écrire une histoire, par cette seule fin,

Ce poème qu'il connaissait si bien,

Préférable, d'ailleurs, au roman arlequin.


Les images étaient belles,

Les mots s'alliaient, naturels,

Mais pourquoi avoir choisi cette histoire

Qui parlait de son misérable sort?

Monday, November 06, 2006

Une fin de semaine productive!

Eh oui, ça été toute une fin de semaine. Mon coloc est parti vendredi, bref déjà une personne de moins pour faire quelque chose. Pas grave, me dis-je, j'ai une soeur! Semble-t-il que les aspirations professionnelles et loisirielles (!) de ma soeur avait pris de l'avance sur mes plans, alors je fus abandonné par mon propre sang.

Bah, il me reste quand même une couple d'amis à Montréal, n'est-ce pas? Ben non! Évelyne m'a abandonné pour un shower de bébé, et Kevin m'a abandonné pour sa terre natale!

Bof, c'est pas grave, reste le chat. Encore une fois, me voyais-je déçu. Il dort le jour et il court la nuit comme un con (quand j'essaie de dormir).

Finalement, y'a un vidéo pas trop loin de chez nous, il me reste alors l'échappatoire des films. Eurêka!

Fin de semaine très chargée donc, 6 films en trois jours (2 le premier jour, 3 le second et 1 aujourd'hui). Quels étaient-ils ces films? En ordre, j'ai vu 3-iron, un film romantique coréen (je crois), pas mauvais, mais pas bon non plus. Ensuite, j'ai vu un des meilleurs films d'animation japonaise de toute ma vie, intitulé "The place we promised in our early days". Superbe, j'ai probablement même versé quelques larmes ça et là. Je passe le 3e film que j'ai vu, un autre film d'animation japonaise mais très décevant celui-là. Je ne le nommerai même pas. Ensuite j'ai écouté "Je n'ai pas peur", un film italien ou espagnol, je suis pas trop sûr (mais ça se passe en Italie, c'est toujours ça de certain). C'était très intéressant et bien fait. Puis, "In the mood for love", un autre film romantique (faut dire que j'étais dans le mood for love moi aussi on dirait...) d'origine chinoise (pas sûr non plus), du superbe réalisateur Wong Kar Wai. C'était très bien réalisé, mais l'histoire n'avait pas de but. J'ai mieux aimé 2048 du même réalisateur (et c'est avec les mêmes acteurs principaux, que j'adore). Finalement, aujourd'hui je me suis tapé le classique "Taxi Driver" de Martin Scorcese. C'était vraiment bon, Robert de Niro est un génie, et la tension montait de façon très naturelle. Je comprends pourquoi ça a passé le test du temps.

Bref, une fin de semaine productive (ou non), qui finit par une entrée sur mon propre blogue, question de la rendre encore plus productive. Ou simplement, question de tenir compte de son existence, qui aurait pu passé à néant très facilement.

Je continue de mettre des poèmes sur la megastructure, mais je ne sais pas si je vais encore le faire longtemps, il n'y a pas beaucoup de lecteurs (et de participants, quoique ça s'améliore de ce côté) et les commentaires, à défaut d'être productifs, sont loins d'être constructifs.

Friday, November 03, 2006

Une mégastructure!

Salut à tous,

Il est 5h du matin et je suis crevé, mais je n'arrive pas à dormir, alors autant faire quelque chose d'(in)utile. Dernièrement, Basduck a ouvert la MEGASTRUCTURE 51, un blog pour les étudiants en lettres de l'UQÀM. Je l'ai ajouté à mes liens, à la droite, et j'y ai déjà mis deux textes de mon crû. Vous pouvez aussi voir quelques autres blogs des étudiants de lettres de l'UQÀM, et quoiqu'inférieurs au mien, ils demeurent néanmoins intéressants.

Je dois noter aussi que je vais mettre la plupart de mes textes de création dans la mégastructure, mais vous aurez quand même droit à des exclusivités ici, bref à des brouillons, des textes inédits, des idées, etc. Évidemment, le plus important, c'est qu'ici, j'ai le droit de déconner, et j'adore le faire, donc continuer de me lire, mais lisez-moi partout :D.

Wednesday, November 01, 2006

Soulignons le premier novembre de 2006!

Et oui, nous sommes enfin au moins de novembre. Plus qu'un mois avant d'être au premier mois de décembre en 2006. Pourquoi, me demandez-vous, le premier mois de novembre (et de décembre) de 2006. Peut-il vraiment y en avoir 2?

La réponse à cette question est affirmative, je l'affirme. Après avoir longuement discuté avec des physiciens compétents de l'ONF (puisque tout le monde sait que l'ONF produit tout sauf des films), j'en ai conclu, suite à leur conclusion, que la chose était possible. En effet, comme vous savez tous, nous originons de Dieu, et ce dernier a un jour fait exploser du néant pour créer du plein. Ce phénomène, les gens de l'ONF le désignent sous le nom de "Big Bang" ("El Nino" étant déjà pris). Bref, l'univers a pris de l'expansion, et est peut-être même encore en expansion (je m'informerai auprès du capitaine Jean-Luc Picard à cet effet).

Que vient faire la création de l'univers avec le mois de novembre? Tout, justement: les scientifiques de l'ONF prédisent qu'un jour, un phénomène renversé ce produira, le "big crunch" (faute d'"el nina"). Il me semble donc logique que si tout "s'effouère" et revient à zéro, le temps en fera de même. Bref, vers l'an 2 millions 782 131, tout reviendra en arrière. Nous passerons évidemment par l'an 2280, où je serai sorti de terre (oui, je vais vivre aussi vieux, grâce aux produits "L'Oréal" qui me font paraître jeune plus longtemps), suite à quoi nous reverrons l'an 2070 durant lequel j'aurai gradué de L'UQÀM (le recteur m'enlevera mon diplôme des mains d'ailleurs) et finalement, nous reviendrons à ce jour fatidique du 1er novembre 2006, qui sera le second novembre de l'année 2006, et pendant lequel j'effacerai toutes les conneries que je viens aujourd'hui d'écrire.

Parlant de retour, je devrais retourner à ma lecture de Lucien Goldmann, car j'ai un résumé critique qui est dû pour demain. Bah et puis merde... j'ai encore 64 ans pour passer mes cours.

Sunday, October 29, 2006

Ma première oeuvre en ligne...

Et oui, je me lance enfin. Je vous offre ici un poème qui est à la base un exercice d'écriture automatique. Après 3 heures d'écriture automatique, j'ai dû prendre la moitié d'une feuille 8 et demi par 11 et en tirer mes idées préférés. Par la suite, je devais composé un poème sur le thème: "Je, me, moi". Je crois que ça quand même bien tourné, et j'ai eu l'honneur de le lire dans la soirée de poésie du Cégep. La réaction était plutôt bonne, même si je dois avouer que j'étais fort nerveux. Je pense notamment à l'envoyer à la revue de l'UQÀM "main blanche", ils en feront ce qu'ils voudront (sauf me le voler, évidemment, car le vol c'est mal!).

Voici donc:

Mon inspiration vient d'un rein concassé aux enflures puériles:



Pourquoi me regardes-tu ainsi?

Mais pourtant, ne me connais-tu pas?

Pourquoi me demander cela?

Ce sont après tout les autres qui me perçoivent.


Me voit-il comme un orang-outan nègre?

Ou bien comme une grosse pédale misogyne?

Simplement, alors, comme une pourriture animalière?

Ne me le demandez pas.



Car comment le saurais-je?

Je ne suis qu'un simple jeune homme.

Qui comme tous les autres,

fait régulièrement des pets sauce-tomate.


Qui suis-je pour les autres?

Je ne suis pas celui à qui tu devrais le demander.

Pour les autres, je ne serai jamais vrai,

je bave même de la salive artificielle.



Moi pourtant, je me sens si réel.

Avec ma créativité, stéroïde de l'âme.

Cet âme si près de mon ombre,

Moi je vois sa forme!


Moi j'ai aussi ris

Sans que quiconque le sache.

Et parfois je le fais savoir,

Si j'en ai envie.


Moi je connais mon passé.

Ce passé intérieur mal chié,

Tout plein de cette dépressive nature,

Mais entouré de ces gens merveilleux qui me jugent!

Saturday, October 21, 2006

Nouveau lien... malheureusement...

Et oui, le terrible Basduck m'a récemment annoncé, avec une tristesse incroyable dans sa voix, qu'il aurait aimé que je "link" son blog. Aujourd'hui j'ai cédé. Est-ce à cause de ses charmantes frisettes? De son intellectualité? De son rire moqueur? De son gilet de l'UQÀM? Je ne saurais le dire... Mais l'irréparable est fait.

Maintenant, espèce de salopard, tu peux avoir mes 5 lecteurs en plus des 50 autres que tu as déjà. T'as intérêt à me "linker" bientôt, parce que ma colère est aussi terrible que la mayonnaise du Subway.

Saloperie de moton gorgiale!

Oui, vous m'avez bien entendu, et vous m'avez probablement encore mieux lu: il y a quelque chose d'inconnu qui se terre dans ma gorge, possiblement un mini moton de nature grippale. Comment sais-je qu'il est mini? C'est simple, le salopard ne se tousse pas!

Il me hante, et des fois j'entends les échos de ses cris dans ma gorge. Ses griffes acérées m'étranglent chaque nuit, et me rappellent sa présence chaque jour. Ai-je vraiment la grippe donc? C'était-ce tu une si bonne idée que ça de donner des becs à tout le monde que j'ai pas revu depuis des lustres?

Mon nez refuse de révéler la vérité, en refusant de couler. ET...

* veuillez patienter pendant cette légère intermission... *

Bon les touches filtres (l'invention la plus conne de Windows) ont décidé d'arrêter de me faire chier après 10 minutes de taponnage.

Bref, mon nez refuse de révéler la vérité, et ma gorge ne peut coopérer, car l'ennemi en elle est plus fort. Tout ce que je demande, c'est que ce salopard qui s'y cache daigne se montrer dans un kleenex, à l'aide d'une force pulmonaire capable de tousser les motons les plus vilains de l'Enfer!

Et sache, oh oui sache-le, que je déteste les petites enflures comme toi qui persistent en position de faiblesse (car, comme je l'ai dit, je n'ai point cette redoutable grippe), et sache aussi qu'elles finissent toujours dans un système d'égoût municipal quelconque, aux cotés des criminels, des réfugiés politiques et des jockeys (Ben... genre... ceux qui phond du chevau là! Tsé...) médaillés aux Olympiques de Sydney. C'est toi qui l'aura voulu...

Et toi, oh oui toi qui me chicote la gorge depuis 1 semaine, je te tousserai dans le système d'égoût où vivent maintenant les acteurs médiocres du film tout aussi mauvais Hochelaga.

Note de l'auteur: Ma haine soudaine pour le film Hochelaga n'est que cela, soudaine. Je n'ai pas revu le film dernièrement, et j'espère bien que cette malchance ne s'attaquera pas à moi. Espérons que je sois capable d'éviter d'autres films de type "rue", tels La rage de l'ange et Histoire de Pen.

L'ENFER... LA GROTTE REPRÉSENTE... L'ENFER!

Maudit que c'tait mauvais le film Hochelaga.

Tuesday, October 17, 2006

Ça se passera pas de même!

Je me casse le cul depuis que je fais ce blog pour m'assurer que mes entrées soient assez longues (mais pas trop, car trop de génie à la fois ça peut être néfaste, voire dangereux), et puis "BANG!", je tombe sur une entrée de Benne qui fait trois (3) lignes:

We walked for hours
Hoping you'd take my hand
In my pocket

Quessé ça? Moi aussi je peux jouer à ça!

J'ai écris une heure
Un osti de travail plate
Ben là, je blog!

Tiens, monsieur haïku, à se joue à deux (2) c'te game là!

*retour au travail plate*

Sunday, October 15, 2006

Saison 2006-2007 de la LIM!

C'est avec beaucoup d'excita... d'excitem... bref avec beaucoup de cela que je vous "plug" officiellement le lancement de la saison 2006-2007 de la Ligue d'Improvisation Montréalaise, aussi connue sous le nom de LIM.

Chaque dimanche soir, à 20h, à partir d'aujourd'hui (ma plug est en retard mais bon, il y à d'autres dimanches dans la vie!), des improvisateurs de talent se lancent sur scène et nous "entertainent" pendant... bah une couple d'heures au moins (peut-être même plus, puisqu'on en parle après!).

Me demanderiez-vous combien ça coûte et où c'est-ce? Je vous répondrais que ça coûte 7$ (y'a aussi des passes de saison je crois, mais elles sont à combien? Je l'ignore.) et que c'est au Lion d'or! Allez-y sans phauttes, c'est ben l'fun!

Pour plus d'informations, vous pouvez toujours aller faire un tour sur leur site officiel (presque aussi bien fait que mon blog):

"http://www.citronlim.com/home_flash.html"

Tuesday, October 10, 2006

Quel genre de poils sont-ce?

Il m'arrive de me pencher (ne vous exciter pas trop vite mesdames, vous pourriez très bien être déçues...) et de constater à quel point je néglige le clavier (sur lequel je rédige ces impertinences), la table et le plancher qui m'entourent. Chaque jour, je reviens à la même résolution: "aujourd'hui, je fais le ménage" suivie d'une résolution toute aussi logique: "Bof, finalement ça me tente pas vraiment." D'où me vient cette aversion pour le ménage?

J'ai planté un arbre et en ai tiré ma généalogie dernièrement, et je viens pourtant d'une famille de ménagères (les ménageurs sont arrivés environ en même temps que les baby-boomers, eux.) accomplies. Mon arrière-arrière-grande-tante du côté de mon père, Ésétore C. (Ne révélons pas mon précieux nom de famille tout de suite!!!), avait à elle seule nettoyé, semble-t-il, un four d'antan et trois bambins hyperactifs dans la même journée. Bref, rien dans les gènes.

Il ne peut y avoir qu'une solution alors, si ce n'est pas dans mes gènes, c'est dans celles de la saleté. D'où viennent ces poils, à qui étaient-ils, comment sont-ils arrivés là, et veux-je vraiment y toucher, en sachant qu'un jour ils reviendront me terroriser? Perds-je ma barbe? Mes cheveux sont-ils réellement frisés? Toutes ces questions quant à l'origine de la saleté sont d'une nature aussi dégueulasse que l'état actuel de ma chambre.

Bref, j'en conclus que la seule manière de vivre pour moi, c'est de m'adapter à mon environnement. Mes arrières-arrières-arrières-grands-oncles (homosexuels inavoués de surcroît), en découvrant la Nouvelle-France et en la chantant de leur bouche remplie de scorbu, auraient été fier de ma nature de vrai colon.

On est après-demain là?

Tiens, je crois bien qu'on est l'après-demain de l'après-demain où j'avais promis qu'après-demain je vous expliquerais pourquoi mon premier message était titré: "Homme cherche jeu de mots poche". Trève d'expliquage et d'après-demainage, la raison est aussi simple que stupide, mais une promesse est une promesse, et je suis un homme qui livre, certains diront même un livreur.

L'introduction à un blog est une chose qui m'apparaît assez compliquée, et question de m'introduire avec humour et style, j'avais envie de faire recours à un jeu de mots du genre: "Voici le tout dernier Blogbuster." Bon je l'admets, ce n'est pas très bon, d'où la raison qui explique pourquoi, genre, style, que j'ai comme opté pour le titre plus original et tout aussi efficace "homme cherche jeu de mots poche."

Maintenant, arrêtez de m'achaler! C'est la mi-session et je travaille presque dans mes livres... du moins ceux, peu nombreux je l'admets, que j'ai achetés. Je fais une recherche dans mon cours de littérature et language sur "les fonctions de la communication à travers la traduction dans la littérature", et je me demande vraiment pourquoi je choisis des sujets toujours aussi difficile pour impressionner des profs dont je me sacre un peu (désolé à tous ces profs dont je me sacre un peu... ou le suis-je vraiment puisque je me sacre un peu de vous?).

Je promets néanmoins d'écrire plus souvent ici, car j'ai peur des colères d'Obiben (obiben.blogspot.com) et de Basduck (basduck.blogspot.com) combinées!

Didze se sauve en courant des deux fous armés de mitraillettes virtuelles, et prend tout juste le temps de "publier le message".

Wednesday, October 04, 2006

Homme cherche jeu de mots poche

Tiens!

Me voici maintenant lancé dans le monde incroyable des blogs, grâce au toujours convaincant Basduck. Allez voir son blog à l'adresse basduck.blogspot.com (je ne sais pas encore comment faire des liens, bordel de merde!)... et dites-moi comment c'est, parce que c'est sûrement plein de mots à lire et j'ai pas vraiment le temps!

Pour en revenir à mes moutons, si on peut en trouver dans cette magnifique introduction, je suis dans le monde du blog et mon objectif ici est simple: vous "entertainez" (notez l'absence de guillemets français. Heureusement que j'anglicise un mot, parce que ça aurait pu être choquant pour plusieurs)! Comment m'y prendrai-je pour faire-je ceci-je? C'est simple, j'utiliserai mon (très grand, je l'espère) talent pour l'écriture, et je vous débiterai des conneries de façon régulière. Certaines (peut-être certains aussi, mais ils sont moins importants) se demanderont s'il y aura parfois du contenu sérieux ici. Je répondrai de façon singulière: OUI! De façon plurielle (comment féminise-t-on pluriel?) je répondrai même: OUIS!

Ainsi, parfois, quand vous aurez été sages, autre virgule, question de garder une tension, ma foi, vive, je vous offrirai quelques aperçus de mes travaux. Non pas ceux de sessions, auxquels je devrais présentement m'attarder, au lieu d'ici être attardé, mais bien quelques petits extraits de romans, poèmes, chansons à répondre, cris novateurs de curling et autres. Évidemment, pour éviter le plagiat, notamment celui de Basduck (j'ai d'ailleurs eu l'occasion de consulter son blog durant la rédaction de cette interminable introduction), je vous limiterai ce grand privilège. Heureusement pour vous, les insenséités qui seront ici rédigées seront probablement meilleures, et surtout beaucoup plus fréquentes.

Finalement, j'ose me présenter, Didier, d'où l'adresse incroyable du blog (Didze.blogspot.com, pour ceux qui se sont perdus), homme d'études littéraires à la Grande Institution de l'UQAM (aux côtés de Basduck, dont le blog, toujours excellent, demeure quand même plus redondant et moins profond que le mien) et habitant temporaire (du moins l'espère-je... ou l'espère-je vraiment-je?) de la métropole québécoise, hôte elle-même de cette renomée UQAM.

J'expliquerai le titre de cette première entrée bloguiale demain, ou peut-être le lendemain de demain, bref après-demain, pour me donner ainsi quelque chose à dire dans ma deuxième entrée bloguiale, et aussi parce que j'aime vous tenir en haleine. Blogues à part, bonne nuit à tous, et à la prochaine.

P.S.: Espèronds qu'auqunes fotes ne ce soiet gliçés dan mond premié messaje, gens seraient umiliers.